Les Témoignages sur Cogit'UP
26/08/2017 par B.P. PACES 2016-17
La PACES est une année très différente de toutes vos années de lycée. On lit des choses dessus mais finalement tant qu’on ne l’a pas vécu on ne peut pas vraiment savoir. La masse de travail est énorme en quantité. Elle est très longue mais elle se vit à 100 à l’heure. J’ai toujours eu l’impression qu’il me manquait du temps, même quand j’avais six semaines de révisions au deuxième semestre. On ne peut jamais tout savoir et il faut l’accepter. La PACES commence dès le premier jour et ça ne s’arrête plus jusqu’au concours. Je pense qu’il faut éviter un maximum de prendre du retard surtout au premier semestre où la période des révisions est très courte.
Pour moi ce qui est important pour réussir c’est de trouver sa méthode de travail, son rythme et de ne plus en changer. Il faut savoir prendre des vraies pauses dans la journée pour être efficace le reste du temps. Je pense que ce qui paye c’est la régularité. Mais il faut croire en soi, croire que l’on peut le faire. Ce qui m’a aidé à réussir c’est que je me suis remis en question à chaque fois que les résultats ne suivaient pas.
Ce premier semestre est un vrai sprint et chaque heure gagnée est importante. Cogit’UP m’a vraiment aidé pour mieux assimiler les cours et pour voir où j’en étais grâce aux colles du samedi. De plus, ça me permettait d'avoir un lien social, l’ambiance y est bonne. Il n’y a vraiment aucun esprit de compétition et les doublants sont là si vous avez une question en plus des tuteurs. Jérôme était toujours présent si jamais j’avais besoin donc c’était vraiment appréciable. Il était là pour me rebooster et discuter quand j’avais des doutes, ce qui est génial quand tu es loin de ta famille et des tes amis. Pour ce qui est du premier semestre je conseillerais d’aller le moins possible en cours pour avoir le temps de bosser chez soi.
Le second semestre est très différent, il y a beaucoup plus de quantité mais il est beaucoup plus long. Je travaillais moins tard pour pouvoir tenir sur la durée. Avec le recul, je me dis que j’aurais dû m’accorder plus de pauses mais je n’arrivais pas à me déculpabiliser. Le second semestre est très long et heureusement qu’il avait Cogit’UP pour ne pas lâcher.
Bon courage et croyez en vous !
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05/08/2017 par L.C. PACES 2016-17
La PACES est une année que j'appréhendais énormément en terminale. J'avais peur de partir loin de chez moi, de craquer avec la dose de travail et de ne pas avoir d'amis.
Au lycée j'étais bonne élève mais jamais dans les meilleurs alors avec tout ce que j'entendais sur la PACES je me disais " pourquoi moi j'y arriverai plus que lui ? ". J'avais ce besoin de me sentir épaulée, encadrée et d'avoir un milieu de vie sain c'est pour ça que je me suis dirigée vers une prepa.
J'ai ensuite choisi Cogit’UP car j'adorais le fait de pouvoir choisir les matières et d'avoir des locaux à notre disposition quand on le souhaitait, et surtout le principal je dirais : les copains. A Cogit’UP je me suis fais de meilleurs amis qui m'ont énormément apporté. Sans eux je n'en serais pas ici et je crois que c'est LE point clef de la PACES ! Il n'y avait pas de concurrence entre nous, on était tous chacun là l'un pour l'autre.
Je garde un très bon souvenir de ces deux années grâce à Cogit’UP et si c'était à refaire je le ferais sans hésiter. Je sors grandie de cette expérience et j'ai enfin l'impression d'être une adulte. J'ai appris à faire des choix, à me battre pour ce que je voulais et à m'affirmer.
Bon courage à tous les PACES ! Écoutez votre corps, faites vous des amis, faites du sport, parlez quand ça ne va pas et surtout croyez en vous !
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30/07/2017 par M.C. PACES 2016-17
Alors moi j’ai un parcours assez atypique car je ne suis pas diplômée d’un bac S quand j’arrive en PACES mais d’un bac ST2S. Beaucoup m’ont dit que je n’y arriverai pas mais aujourd’hui je suis la preuve du contraire puisque j’ai été admise (donc oui si vous ne sortez pas d’un bac S c’est quand même possible !).
Au début du mois de septembre 2015 je suis arrivée à Poitiers, une ville que je ne connaissais pas, loin de chez moi, avec des gens que je ne connaissais pas. Comme beaucoup d’élèves je suis allé à la fac et au tutorat, j’ai tenu environ 1 mois avec un rythme effréné et j’avais déjà accumulée des semaines de retard. Je me suis alors réellement posée la question d’arrêter ou pas la PACES. Puis j’ai commencé à me renseigner sur les prépas qui existaient et on m’a parlé de Cogit’UP.
Je suis allée rencontrer le directeur Jérôme avec ma mère, c’était presque un sauvetage d’urgence, on a beaucoup parlé et finalement à la fin de ce rendez-vous j’avais l’intime conviction que j’étais entre de bonnes mains et que tout irait mieux. J’ai alors commencé les cours à Cogit’UP, au début ce n’était pas facile mais je me suis accrochée et j’ai vite rattrapé mon retard.
Pourquoi ? Parce que j’étais entourée de tuteurs qui ont vécus exactement la même chose que moi et qui étaient toujours là pour m’aider, de Jérôme qui était là pour me donner des conseils mais aussi pour me remonter le moral et d’autres P1 avec qui j’ai pu nouer des liens. C’est presque une famille, un petit cocon dans lequel on se sent bien malgré la difficulté de la PACES. Pendant ces deux ans j’ai décidé de travailler seule, j’allais aux cours à Cogit’UP et ça m’a énormément aidé : en gros on dégrossit les cours de la semaine par le biais de QCM avec les tuteurs qui sont des étudiants qui ont eu leur PACES du coup l’ambiance est très agréable et on n’hésite pas une seconde à poser des questions.
En dehors des cours il y avait des colles tous les samedis pour nous entrainer au concours et elles étaient très représentatives du concours. Personnellement je n’ai pas eu besoin de faire les colles du tutorat, celles de la prépa me suffisaient largement. Donc on récapitule : si vous voulez votre PACES qu’est ce qu’il vous faut ? Une bonne organisation, de la motivation, de la confiance en soi et une super prépa comme celle-ci !
Foncez et croyez en vous , pleins de courage et de réussite !
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18/07/2017 par J.G. PACES 2016-17
J'ai passé deux années en PACES et je pense que la clé pour réussir est d'être lucide, et de savoir ce que l'on sait et ce que l'on ne sait pas par rapport aux autres étudiants.
L'avantage de Cogit’UP c'est que cette prépa n'instaure pas une compétition malsaine et anxiogène pour les étudiants. En effet il y a vraiment une bonne ambiance entre chaque étudiant à Cogit'UP, pour ma part je travaillais dans une salle de quatre et chaque fois que j'avais une difficulté dans une matière un ami pouvait m'aider à comprendre.
On était une trentaine environ à travailler à Cogit'UP et le fait de bosser avec des amis me motivait à travailler chaque jour. De plus les résultats des colles sont anonymes (et bien mieux faites et représentatives du concours que celles du tutorat ), du coup je savais quelles matières je devais travailler en priorité mais sans me mettre une pression négative par rapport aux autres étudiants. Le fait que des étudiants de 3ème ou 4ème année nous fassent cours m'a beaucoup aidé car ils ont vécu la PACES comme nous et savent ce qu'il faut travailler en priorité dans chaque matière.
Le problème en PACES c'est qu'on veut tout apprendre mais malheureusement cela est impossible. Le cours de Cogit'UP est une parfaite synthèse du cours du prof. Enfin le directeur Jérôme Bertrand (ou " Jéjé " comme on l'appelle) est très accessible tout au long de l'année pour donner des conseils sur nos révisions et nous donner un regard objectif sur nos résultats aux colles.
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10/07/2017 par A.B. PACES 2016-17
C'est une entrée difficile dans la vie étudiante, c'est le grand sot vers les choses sérieuses.
Il faut de la motivation, du courage, de la persévérance, une hygiène de vie parfaite et il faut surtout écouter son corps et ses besoins.
J'ai moi même redoublé ma paces parce que je ne m'écoutais pas: besoins de sommeil, de m'aérer l'esprit. J'ai foncé tête baissée dans mon apprentissage et je n'ai pas cherché à me poser et trouver la méthode de travaille qui me convenait, impactant sur mes résultats.
J'ai décidé de redoubler chez moi, à 2 heures de Poitiers et de venir sur Poitiers uniquement pour les concours blancs et le concours. J'ai suivis les cours de Cogit'up et ceux des profs par vidéos et j'ai aussi fait les colles.
Tout ça en utilisant mes cours précédents et en les modifiant si besoin. Cette année de redoublement, que j'abordais avec appréhension, m'a permis de me rendre maître de mes choix, j'ai écouté mon corps, mes envies, mes besoins tout en ne perdant pas mon objectif de vue. Il faut s'écouter de manière à ne pas flancher avant la fin et de mettre le plus possible en application ses qualités d'apprentissage et de futur professionnel de santé.
Bon courage et croyez en vos rêves.
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18/07/2016 par E.D. PACES 2015-16
Comme tout le monde le sait, la PACES est une année très dure, durant laquelle tout le monde connait des hauts et des bas. Mais l'essentiel est de ne pas se reposer sur ses lauriers quand tout va bien et de ne jamais abandonner quand ça ne va pas.
C'est pour cela que selon moi les principales qualités à développer sont le courage, la persévérance et l'organisation. Si ces trois points sont réunis, il est nettement plus facile de rester concentré et efficace pendant le travail. Je tenais aussi à dire que le niveau au lycée n'influe pas forcément sur la réussite en PACES... Par exemple, j'étais une élève moyenne et lors de l'entrée à la fac, je m'inquiétais car je savais que de nombreux étudiants étaient bien meilleurs que moi au lycée. Mais je pense que ma motivation et mon organisation m'ont très largement aidé à gagner des places durant ma première P1, et à réussir lors de ma deuxième. Il ne faut pas seulement prendre en compte vos capacités à travailler simplement vos cours, il y a plein d'autres facteurs à considérer.
Beaucoup de gens disent que durant cette première année, il faut développer une mentalité propre au concours (ne pas aider les autres, ne faire confiance à personne, etc.). Je pense que c'est totalement FAUX. Au contraire, avoir des gens sur qui compter quand on n'a pas le moral, c'est vraiment super important! Sans mes amis, ma famille et le soutien de Cogit'UP, jamais je n'aurais pu finir mes deux années. La PACES n'est pas synonyme d'isolement ! Il faut donc aussi savoir faire des pauses quand on en ressent le besoin, ce n'est pas une journée de travail en moins qui jouera sur le classement final, au contraire ! Il faut savoir s'aérer l'esprit pour recommencer à travailler plus sereinement et plus efficacement. C'est évident que c'est plus facile à dire qu'à faire, mais vous pourrez compter sur l'équipe de Cogit'UP pour vous aider.
Pour finir, je conseille vivement la prépa Cogit'UP pour vous encadrer, car elle est compatible avec le tutorat et vous permet d'avoir de nombreux qcm supplémentaires pour comprendre, apprendre vos cours et vous préparer au mieux au concours. De plus, l'encadrement "en dehors des cours" est super. Si vous avez besoin de parler de vos petits soucis, vous trouverez toujours quelqu'un pour vous écouter.
Bon courage à tous les futurs étudiants et surtout, restez motivés !!
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16/07/2016 par MB PACES 2015-2016
La transition entre la terminales S et les études supérieures est assez radicale.
Les premières semaines, j'ai été impressionnée du travail conséquent à fournir mais les automatismes viennent vite et grâce au soutien de Cogit'UP, on adopte les bons réflexes.
L'année de PACES fut longue mais pour moi le plus important fut la persévérance, l'entraide et de rester concentrée sur l'objectif à atteindre.
Cogit'UP m'a enseigné à être efficace et organisée dans mon travail. J'ai reçu un soutien pédagogique de grande qualité, une écoute, des conseils qui m'ont permis de ne jamais rien lâcher.
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14/07/2016 par MG PACES 2015-2016
La PACES est une sacrée épreuve, après 2 ans j'ai enfin médecine et c'est un soulagement énorme, c'était peut-être les pires années de ma vie mais aussi les plus rapides et les plus intenses !
La première année rassemble beaucoup de têtes sorties d'un bac scientifique haut les mains, donc il faut accepter de se trouver avec plus de 1000 personnes qui ont autant leurs chances et qui vont autant se battre.
En PACES on apprend l'échec, le stress, la rivalité, mais surtout la persévérance.
Si je peux vraiment donner un conseil après ces 2 ans, c'est d'apprendre dès le lycée à rester concentré, car je crois que c'est le plus difficile. Avoir déjà cette faculté là est réellement un gros avantage !
Ensuite ce qui me semble important c'est de ne pas essayer de faire comme les autres, on a tendance à regarder comment la voisine révise car elle a l'air tellement studieuse, et finalement on se rend compte qu'elle n'a rien eu à la fin de l'année. Il faut vraiment se faire confiance et ne pas travailler en quantité mais surtout en qualité!
Je souhaite beaucoup de courage à tous les futurs P1, pour moi les 3 clefs de la PACES sont : efficacité, rigueur, concentration, donc énormément de mental, d'où l'importance de vos proches et surtout de garder votre sang froid et de savoir lâcher prise.
La prépa Cogit’Up est vraiment top car c'est un parfait équilibre entre la convivialité du tutorat et l'aide d'une prépa privée, les cours ne sont pas le soir (possibilité d'aller au tutorat) et sont "à la carte" (parfait pour un doublant). Petit plus non négligeable pour ceux qui n'arrivent pas à travailler chez eux comme moi : ouvert le dimanche et les jours fériés !
Bon courage à tous et merci à Cogit’Up !
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21/09/2015 par C.L. PACES 2014-15
L'entrée en PACES ne doit pas se faire sur un coup de tête. La motivation est l'élément principal à prendre en compte. Elle doit être le seul moteur. Personnellement, j'ai toujours voulu faire médecine.
Cette année paraît longue, mais au final, elle passe très vite! Ce sont 10 mois qui paraissent une éternité en arrivant, mais qui finalement ne se voient pas passer.
Au premier semestre, je me la suis joué solo. J'étais en mode sprint, puisque ce semestre est plus court que le suivant. J'allais au cours tous les matins, et je rentrais chez moi travailler ensuite. J'allais aux cours de la prépa en fin d'après midi, puis j'enchaînais avec le tutorat. Souvent je rentrais après, et je continuais à travailler tard, pour toujours rester à jour dans mes cours, ce qui est important.
Le retard est un gros problème en PACES, MAIS il ne faut pas non plus empiéter sur le sommeil… Sinon l'apprentissage n'en sera que moins bon.
Au second semestre, j'ai repris le même rythme, mais le moral n'a pas suivi. Alors j'ai commencé à travailler à la prépa, avec un groupe, qui sont vite devenu des amis, des alliés dans le combat qu'est la paces! Il ne faut surtout pas s'isoler, sinon le moral ne suivra pas.
Et à partir de la, j'ai repris un nouveau départ.
Être entouré permet de se remotiver les uns les autres, de prendre des pauses, d'avoir quelqu’un à qui parler, de rigoler et de décompresser.
On avait aussi une méthode de travail bien plus efficace, qu'en solitaire. On avançait très vite, et on a tenu sur la longueur, justement en s'épaulant chacun. Le deuxième semestre étant plus long, il faut se reconvertir en marathonien.
Tous les 4, on n'assistait plus aux cours, mais on continuait de travailler entre nous. A la fin on était vraiment dans notre bulle, plus de tutorat, et en mode machine de guerre.
A plusieurs on était plus fort.
Il faut prendre des initiatives pendant cette année, et ne pas rester sur un échec. Il faut savoir se remettre en question, changer ses méthodes de travail si elles ne sont pas payantes. Mais il faut aussi s'accorder le temps de dormir et de se détendre en lisant ou en regardant une émission TV par semaine ou en faisant du sport.
Il faut travailler tous les jours, au même rythme, sans perdre le moral ! Je conseillerais aussi de ne pas se comparer à quelqu’un d'autre. D'une part, ça peut faire baisser la confiance en vous, et donc le moral. Et d'autre part, chacun a ses méthodes, chacun a une mémoire différente, et l'assiduité et le travail seront différents. Et surtout, il est important d'apprendre ses cours certes, mais il est doublement important de se tester avec des QCM, annales ou en se questionnant les uns les autres sur les cours. De cette façon, on peut vite se rendre compte si le cours est bien appris, ou s'il y a encore des lacunes. L'entraînement et la répétition sont vraiment les bases en PACES.
Bon courage, bossez bien et déchirez tout!
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14/07/2015 par S.J. PACES 2014-15
Aaaaah la P1, en apparence, c'est une bien longue année, mais finalement, avec un peu de recul, elle est passée très vite!
J'avais beaucoup d'appréhension, il y a un énorme fossé entre le lycée et la fac! Mais de suite je me suis rendu compte que je n'arrivais pas à travailler dans mon 15m2. Vu qu'il y avait des salles disponibles a Cogit'UP, j'y suis allée pour travailler.
Le 1er semestre, je travaillais plutôt toute seule au début. Je n'allais pas en cours, je regardais les cours que je voulais sur internet. Puis j'ai fait des rencontres à Cogit'UP! Ça m'a énormément servi! Pour travailler, pour s'entraider, pour s'expliquer, pour rire, pour décompresser, etc...
Au 2nd semestre, on ne travaillait plus qu'en groupe! On était 4. C'était formidable! Le temps passait beaucoup plus vite, on avançait beaucoup plus vite que seul! Et puis on se fait des amis! Sans eux, je ne pense pas que j'aurais tenu tous le semestre!
Pendant l'année, il y a des hauts, des bas, mais quand on est en groupe, il y en a toujours un pour remotiver les autres!
Je conclurai en disant qu'avec la P1, on en apprend beaucoup sur nous, sur nos capacités de travail.
Si je devais donner des conseils?
Se faire un groupe d'amis sur qui on peut compter, et bien évidemment, travailler avec sa méthode, son propre rythme!
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14/07/2015 par Père de D.B.
C’est avec un très grand plaisir que je m’adresse à vous par ce courrier et vous confirme notre entière satisfaction de votre prestation.
En effet, notre fille D., viens de réussir brillamment ses examens de PACES avec un classement certain puisqu’elle se trouve positionnée dans les 150 premiers. Ce résultat est d’autant plus appréciable qu’il s’agissait pour notre fille de tenter de réussir en tant que «primante» ce concours réputé difficile.
Nous avons compris que la réussite de l’atteinte de cet objectif passait, au-delà de la volonté de l’étudiant, par trois éléments socles :
- une organisation de proximité entre le lieu d’étude et le lieu de vie
- la qualité de l’encadrement de l’étudiant par le tutorat.
- l’accompagnement de l’étudiant par une structure dynamique et rigoureuse.
Cogit’UP a pleinement rempli son rôle de structure accompagnante par son organisation, la qualité de ses intervenants, le suivi de l’étudiant et la compréhension de ses doutes au quotidien, enfin l’accessibilité à l’espace de travail.
Il est à noter que le choix de Cogit’UP ne s’est pas fait dès la rentrée de l’année concernée par méconnaissance de l’existence de votre organisme.
Aussi nous pouvons aujourd’hui affirmer que le classement final de notre fille aurait donc pu être encore significativement amélioré si le choix de Cogit’up avait été réalisé dès le début de l’année scolaire.
Les méthodes de Cogit’up ont activement bouleversé le déroulement de la scolarité de notre enfant et contribué à sa réussite.
Nous recommandons donc très sincèrement l’organisation Cogit’UP aux étudiants déterminés à sécuriser la trajectoire vers un objectif de classement probant à l’issu de la première année de PACES.
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14/07/2015 par E.D. PACES 2014-15
Une année de PACES ce n'est pas facile tous les jours. La mienne a été riche en émotions, en doutes, en pleures mais aussi en rires.
La rentrée a été un peu difficile pour moi, ainsi que les mois qui l'ont suivi jusqu'au 1er concours de Décembre. Il y a une énorme marche à passer entre l'ambiance du lycée et l'ambiance de la fac.
J'ai fait le choix de rester vivre chez mes parents mais après quelques semaines je me suis rendue compte de mon erreur. Mes journées étaient bien remplies : le matin j'allais en cours, puis je mangeais au RU avec une copine, en début d'après-midi je travaillais à la BU de médecine (s'il y avait de la place) sinon celle de droit, puis en fin d'après-midi j'allais aux cours de Cogit'UP et en début de soirée je retournais à la fac pour le tutorat jusqu'à 21H30. Tous les matins et tous les soirs je devais faire 25 minutes de route. Tout cela m'a vite fatigué et j'ai arrêté d'aller au tutorat.
Pendant ce premier semestre je n'avais pas beaucoup confiance en moi, j'étais démoralisée et fatiguée. J'avais l'impression d'être un robot et de ne plus avoir de vie.
Après le 1er concours, les choses ont changé. J'ai décidé de venir travailler tous les jours dans les locaux de Cogit'UP avec trois amis rencontrés à Cogit'UP. Nous avons formé un petit groupe de travail et nous nous retrouvions tous les jours du lundi au dimanche pour travailler ensemble. A ce moment j'ai retrouvé le sourire et j'ai pris plaisir à venir travailler. J'ai beaucoup mieux vécu ce 2ème semestre.
Après cette année j'ai l'impression d'avoir grandi et de savoir quelles sont les choses dont j'ai besoin pour réussir. Je ne regrette pas cette année bien au contraire elle m'a donné confiance en moi.
Quelques conseils :
- Bien se reposer pendant les vacances
- Trouver rapidement son rythme et sa méthode de travail
- Garder confiance en soi et ne jamais abandonner
- Ne pas rester seul
- Travailler régulièrement et bien dormir
- Ne pas trop sortir (je suis sortie une fois pendant chaque semestre)
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